vendredi 30 novembre 2012

Permaculture

C'est une voie à suivre...

Ce que je ne peux pas dire

Je me sens taoïste, profondément .
Mais je suis incapable de définir en quoi cela consiste.
Je sais juste que je pense différemment de la plupart des gens.

dimanche 18 septembre 2011

Le chemin de fer du Bocq


Aujourd'hui, nous avons fait une magnifique promenade
A bord d'un vieil autorail que font rouler des passionnés



qui ont fait le pari de faire revivre 
une petite voie désaffectée qui
sillonne la jolie verte vallée du Bock
Entre Ciney et Yvoir en passant par Spontin...



Belle journée d'anniversaire pour nous...
Malgré un petit ennui au retour...


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Hommage à Marcel Marlier

En ce moment, aux écuries de Waterloo

Hommage est rendu

A la fraîcheur sans cesse renouvelée
 D'un homme passionné par la nature

dessinateur hors pair
Qui a fait rêver
Des générations de petites fille


Marcel Marlier
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samedi 13 août 2011

Le silence du bonheur

Ça fait des jours et des semaines que je n'écris plus rien parce que je n'en ai plus ni l'envie ni le besoin.
La plupart du temps, en dehors du travail au bureau, je n'allume même pas mon PC .
Parfois je m'étonne moi même de ce silence.
Mais j'y pense et puis j'oublie parce que plein de choses plus intéressantes m'appellent.
Je n'ai plus de réflexions particulières sur ma propre vie.
Je crois que c'est cela qu'on appelle le bonheur. Une vie qui s'écoule tellement comblée qu'il n'y a rien à en dire hormis en louer l'Univers.
Je pense que celui qui a dit "les gens heureux n'ont pas d'histoires " en était au même stade que moi.


mardi 21 juin 2011

La femme du boucher

Elle a épousé un boucher qui prouve par son tour de taille et sa face en pleine lune que ses affaires sont florissantes..
La femme du boucher est heureuse, sur son bureau, elle affiche fièrement la photo de ses deux petits porcelets. propres, bien habillés et bien coiffés...

"La femme du boucher",   CP extrait..

Répéter

"Pour me persuader qu'ils ont raison et que j'ai tort, que je suis nulle , bête, incompétente,  qu'ils ont l'intelligence et la sagesse, les "superbes", les "supérieurs" me répètent trois ou quatre fois le même discours avec un ton de voix qui va crescendo , comme s'ils voulaient être sûrs que j'ai bien compris malgré ma caboche récalcitrante...
Hélas, ce que je comprends surtout, c'est que ces répétitions inutiles cachent la faiblesse de leurs discours...
Plus ils parlent, moins ils m'intéressent et moins je me sens concernée par ce qu'ils disent..."
Les mémoires de Carmen Pandera