lundi 15 novembre 2010

Demandez à mon chauffeur…

Un moment de bonheur ou la philosophie sans complication de Jean B. d’Orval

 

Extra le sourire de ce type! Sur son visage comme dans ses propos!

4 commentaires:

Arthémisia a dit…

que de bonté dans ces propos!
ET oui, tu as raison, Catherine, son visage,la façon dont il l'anime, rayonne comme un soleil. J'aime cet homme. (d'ailleurs il ressemble à quelqu'un que j'aime infiniment...)
Bises
Arthi

catherine a dit…

@arthi

Moi aussi je suis impressionnée par cet homme et je suis heureuse qu'il te plaise.
Il y a des gens comme ça qui rayonnent et qui vous mettent un sourire dans le cœur. Souvent, c'est parce qu'ils sont passés par toutes sortes d'épreuves et qu'ils les ont surmontées en conservant un amour infini pour la vie.
Plus j'avance et plus je me rends compte qu'il y a deux sortes d'humains. Ceux qui sont dans l'ombre et d'autres qui ont franchi un seuil et sont dans la lumière et ce n'est pas le quotidien de leurs vies qui est différent mais seulement la façon dont ils abordent ce même quotidien. Il y a un chemin qui mène de l'ombre à la lumière et c'est un chemin de dépouillement à la fois simple et difficile.
Je ne sais comment expliquer cela mais c'est aussi un chemin de mort à soi même et de deuil de soi pour aborder quelque chose de plus grand que le "soi".
Les os que tu dessines actuellement me remplissent de joie car ils me semblent qu'ils signent la mort de ton passé douloureux. Je pense que le temps n'est pas si loin où tu dessineras des animaux rayonnants de santé dans la lumière..
Depuis quelques temps déjà, tu sais bien que j'aime la présence de ceux qui sont dans la lumière. Ils m'aident à y demeurer moi-même.

Je t'embrasse Arthi

Arthémisia a dit…

pour en revenir aux os que je dessine actuellement c'est étrange car car je dessine ça, je m'enferme dans mon atelier et j'en arrive à dialoguer avec l'animal qui est en face de moi, imaginer ce qu'il a vécu, aimé, craint. C'est toucher la vie de près alors qu'on pourrait imaginer tout le contraire.
Il n'y a pas de différence pour moi, pas de barrière créée par la mort. Avoir ces os devant moi, les observer par le menu, me rapproche infiniment de la réalité vivante, je veux dire de la réalité de la vie.
Et en plus pour un dessinateur c'est un vrai régal de détails à observer, à retenir, pour ne pas passer à côté de la vérité de l'animal, de sa Beauté, de son intime.
Mes bises
Arthi

Arthémisia a dit…

lire "car quand je dessine..."