vendredi 31 décembre 2010

Le plaisir de la souffrance...avec mes meilleurs voeux!

Alors qu'à l'époque je m'étonnais de voir des amis se maintenir volontairement dans la souffrance physique ou psychologique (dépression, idées noires, violence conjugale, violence au travail..) alors que je voyais si clairement qu'un soulagement rapide était à portée de main, il (jjf) me révéla cette étonnante vérité:
"Mais, alors que quelqu’un souffre dans sa chair et que passe un quidam qui lui propose quelques granules alors qu’un autre lui propose de la chirurgie...
A ton avis, lequel des deux « valorise » le mieux sa grande souffrance...
Quand il y a le choix entre du simple et du compliqué, comment le choix se fait-il régulièrement ? (« pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué... », non ?)

Il me semble que x doit avoir le sentiment que sa « souffrance » est mieux prise en compte par la violence/intensité de l’acte chirurgical. Et puis comme cela il n’est responsable de rien dans ce qui arrive, bien sûr... non ?
Quand il y a le choix, c’est bien sûr le pire qui est habituellement « choisi »...
Banal, non ?
C’est comme cela depuis le « péché originel »... ce me semble... Plus c’est gros, plus c’est tordu, mieux ça passe...

Et de cela avoir de la gratitude, être dans la louange et la bénédiction... car c’est aussi le signe de la « liberté » de la plus belle et la plus aboutie des créations divines..., « liberté » de pouvoir faire n’importe quoi et, à la toute fin des fins, être encore accueilli par une fête organisée par le Père...

Par quelles belles « expériences » x se prépare-t-il à passer ?... non ?
Sûr, pour l’instant, il ne sait pas... mais il va découvrir... en payant de sa personne..."

Bien sûr, je n'y avais pas songé ...

Péché originel, oui,  toute puissance de l'égo magnifié par tout, y compris par la souffrance.

Si je lui demandais pourquoi les gens  qui souffrent ne faisaient rien d'efficace pour changer et au contraire, trouvaient mille excuses, mille trouvailles pour se maintenir dans la même situation et pourquoi ils  persistaient à se servir  seulement de béquilles (médicaments, méthodes psychologiques diverses ) dont l'inefficacité réelle et concrète sautait aux yeux , il (jjf) me répondit :
"ainsi donc la variété du monde...

S’imaginer et raconter urbi et orbi via un blog (les voisins doivent en avoir un peu assez), que la solution est à l’extérieur de nous... une « facilité » qu’on s’offre chacun à un moment où à un autre, ce me semble, non ?
Pour ma part, je « sais » que dans la vie des gens, ce qui se passe et est choisi est toujours « la moins mauvaise solution », du point de vue bien sûr de la personne.
Et puis, faire le choix de « victime », c’est un attrape nigaud qui fonctionne toujours bien. Il y a toujours alentours une « bonne âme » pour foncer dans le panneau, et venir entretenir le jeu « infernal ».
Laisser chacun donc « être » et « expérimenter »... Il est habituel et régulier que lorsqu’on en a assez, alors on change... et passe à autre chose...
La vie qui va s’occupe très bien de le faire d’ailleurs...
Pas bien compliqué, ce me semble... sourires
Et donc louange, gratitude et bénédiction pour cela aussi...











Je sais que certains seront choqués par ces propos et pourtant ces phrases furent des cadeaux merveilleux qui me permirent et me permettent souvent encore d'avancer (joyeusement)


C'est pourquoi, je les offre comme cadeau de fin d'année et en guise de "meilleurs voeux" à ceux et celles qui me lisent pour l'année nouvelle qui s'annonce...






Je remercie celui qui me les a données, que ma gratitude et ma bénédiction l'accompagne là où il est.







mercredi 29 décembre 2010

Carmen et la solidité

"Elle me dit que j'avais l'air solide (psychologiquement) et que cela se sentait.
Je ne pense pas pourtant qu'elle mesurait à quel point je le suis.
Rien de ce qui contrarie les gens autour de moi ne réussit à m'affecter. 
J'ai appris à pouvoir compter sur moi en toute occasion . 
J'ai une confiance totale en ce que m'apporte l'univers car je sais que tout concourt au perfectionnement de mon âme.
Je suis le maître de ma pensée et j'ai perdu mon ego.
Et puis surtout, j'ai perdu la peur ultime, la peur de la mort"
Les mémoires de Carmen Pandera, extrait.

Carmen et l'univers

"Pendant des jours et des semaines, j'ai demandé à l'univers de m'apporter un homme qui me convienne.

C'était une prière oui  mais pas à Dieu...Comment vous dire que je ne crois plus en Dieu mais que je crois en ce principe créateur infini et omniprésent dont je fais intégralement partie et que j'appelle l'univers.

Donc, je lui demandais un homme . Je ne mettais pas de mots sur cet homme. Je ne lui donnais ni âge, ni physique ni qualité ni défaut. Je demandais seulement qu'il me soit parfaitement adapté et qu'il vienne à moi.


Je le demandais chaque matin, chaque soir et je ne doutais pas qu'il vienne. 

Aujourd'hui il est là et personne au monde ne pourrait me convenir mieux que lui. Il est la moitié de mon âme, le côté pile de mon côté face.

Désormais, j'ai perdu toute crainte . 

Comment craindre quoi que ce soit quand on sait qu'il suffit de faire confiance à l'univers ?  "
Les mémoires de Carmen Pandera, extrait.

La tendresse, c’est un corps qu’on étreint au matin au réveil

mardi 28 décembre 2010

création

"L'imagination fabrique le réel, Françoise Sagan en est convaincue. Elle le note, quarante an après sa rencontre avec Guy Schoeller, dans Derrière l'épaule, où elle récapitule la longue suite de coïncidences qui ont jalonné son existence: "La vie et la littérature commencèrent à se confondre".
Marie Dominique Lelièvre, Sagan à toute allure.

Où est la morale?

Si mi la ré sol do fa

Ecrire

Je n'ai jamais écrit pour faire joli.
J'ai écrit parce que ça me soignait et que ça m'apaisait .
Maintenant, je ne sais plus écrire

lundi 27 décembre 2010

Libertat

La vraie liberté, ce n'est pas d'être libre de penser, c'est  la faculté de demeurer libre face à sa propre pensée.
Toute pensée (surtout si elle est négative) peut être laissée, abandonnée...Elle passe alors, sans laisser de trace.

dimanche 19 décembre 2010

Quand je pense....

Qu'on nous bassine avec le réchauffement climatique !
Alors soit on nous raconte des carabistouilles
Soit le Gulf Stream s'est arrêté... 
En tout cas, pour aller chercher les pistolets, ce dimanche matin
Il fallait être l'heureux propriétaire de chiens de traineaux!
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lundi 13 décembre 2010

Maouse

Depuis de nombreuses années
Il était le compagnon de ma petite soeur
C'était le plus gentil des chiens
S'il existe un paradis des chiens
Il y est allé tout droit aujourd'hui
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dimanche 12 décembre 2010

Alors, souris




" Alors moi, Carmen, j'imagine que je suis morte et que j'arrive devant Dieu.
Il me dit : "C'était comment sur terre?"
"-C'était long sans Toi"
"- Qui as tu aimé ?"
"- J'ai aimé V. toute ma vie mais il a souri et il est parti . J'ai aimé Y longtemps, longtemps mais il m'a dit que je devais aller voir un psy . J'ai aimé J.C. mais il n'avait pas de place pour moi. J'ai aimé A mais il était fou de lui-même.
Alors j'ai aimé celui qui m'aimait en t'attendant Toi.."
"Carmen, tous les amours sur terre ne mènent qu'à Moi"
"Oui, c'est pour ça que tu nous as créés parce qu'il te fallait quelqu'un pour T'aimer"
"Repose toi Carmen, tu oublieras..."

Les mémoires de Carmen Pandera , extrait.

Les mémoires de Carmen Pandera



"A 18 ans, nous nous étions regardés sans nous parler.
A 45 ans, nous nous étions parlés sans nous regarder"

vendredi 10 décembre 2010

Jean Bouchart d'Orval

Selon lui, il existe une façon simple de se tourner vers le Simple. L'accent n'est donc pas mis sur l'apprentissage de techniques, sur ce qui se réfère à un devenir, ni sur tout ce qui nous fait dormir et rêver davantage. Toute démarche qui propose de s’intéresser à autre chose que ce qui est là présentement dans sa vie est un ajournement. Il n'y a qu'à porter un regard honnête et persistant sur ce qui est là dans l'instant même et ce regard se retrouve bientôt saisi par le vent de la silencieuse paix. Dépouillée de nos histoires, qui se réfèrent toutes à ce que nous ne sommes pas, c’est-à-dire à une image, à un quelconque soi-même, la réalité apparaît telle qu’elle est : profondément joyeuse.
C’est au moment où nous demeurons sans programme et n’entretenons plus d’opinions sur ce que nous percevons et faisons qu'une joie sans compromis commence à vraiment donner le ton: comment nous sommes se met à refléter ce que nous sommes. La vie phénoménale n’est alors plus que ce qu’elle a toujours été au fond: une actualisation des possibilités de la joie.
L'irruption de la lumière dans notre vie ne peut être le résultat d’une stratégie délibérée, qui ne serait qu’une autre forme d'encombrement, de prétention et d’agitation pour perpétuer ce que nous ne sommes pas. Toute velléité de devenir quoi que ce soit, y compris quelqu’un de libre, ne fait qu’ajouter des raffinements de misère à notre vie. Rien à atteindre, rien à devenir, aucun obstacle à vaincre, seulement des occasions de beauté. Ni idéal à suivre, ni comportement à adopter, ni technique à pratiquer, ni leader à imiter, ni organisation à laquelle se joindre afin de devenir « éveillé » ou « réalisé ». Dieu nous garde de cette indigence spirituelle ! Quel chemin emprunter pour aller de chez soi à chez soi ? Quelle technique pourrait nous emmener à l’étonnement ?
Seul un regard humble et honnête peut nous sauver de la bêtise et de la souffrance que nous nous infligeons nous-même. Rien n'est le contraire de la joie et de la tranquillité profondes : à partir de cette évidence, aucun des changements de la vie n'est problématique. Dans cette éclaircie, les énergies jusque là gaspillées se libèrent : nous vivons alors avec passion, mais sans calculs inquiets.

Casser les murs

mercredi 8 décembre 2010

Jacques Lusseyran

"Et la lumière fût"


Il n'est pas besoin pour un être qui s'éveille d'être sur terre trop longtemps.
Jacques Lusseyran est mort à 47 ans dans un accident de voiture .

Rien à résoudre

"Dans la vie, il n'y a rien à résoudre, aucune situation...
Si on regarde bien, dans la vie, on n'a fait que ça; résoudre des situations.
Et alors ? Ça va mieux ? Non .
C'est parce qu'il n'y a rien à résoudre."
Jean Bouchart d'Orval

Adjectif

"Fâchée, enragée, vexée, dépitée, infiniment triste, déçue, blessée...."
Je cherchais l'adjectif qui vibrerait en moi et pourrait apaiser le mal-être de cette rencontre. 
Sans le connaître, j'avais pourtant été séduite dès le premier abord par tant d'intelligence et de sensibilité.
Je ne sais si je l'aimais d'amour ou d'amitié mais je l'aimais tout de suite, totalement, profondément comme j'aime toujours.
Hélas, instable, impermanent , dépressif, faible, centré sur lui-même , il s'avéra incapable d'établir une vraie relation avec moi.
Longtemps, je demeurais aveugle, espérant toujours, croyant  en ses mots car il me parlait parfois d'amitié. 
Je mis du temps (trop de temps) à comprendre qu'il ne cherchait qu'à être l'ami de lui-même et que je comptais pour rien dans cette obsession.
La blessure qu'il m'infligeait n'était pas anodine  et elle m'en rappelait d'autres . 
Ce n'était pas la première fois que j'étais victime de cette sorte d' homme qui peut jouer au chat et à la souris avec le cœur d'une femme.
J'étais de celle qui donne sans recevoir.

Aujourd'hui, je sais que je dois guérir de cela précisément.
Les portes de mon cœur ne doivent pas être ouvertes aux joueurs.
Je ne sais pas comment m'y prendre et je cherche l'adjectif qui pointera du doigt l'émotion dont je dois me défaire; fâchée, enragée, vexée, dépitée, infiniment triste, déçue, blessée...."
Les mémoires de Carmen Pandera , extrait.



Le courage et l’intelligence

J’aime cet homme qui à 76 ans, a encore ce courage de prendre la plume et la guitare pour dénoncer la sottise humaine

mardi 7 décembre 2010

Vouvoiement

"Pendant longtemps, pour une raison obscure, il me refusa l'amitié du " tu" et le "vous" qu'il m'imposait, griffait mon âme jusqu'aux larmes. 
Mais très progressivement, les choses changèrent ,et un jour, il me gratifia d'un "tu" sans en donner d'explications (il avait horreur des explications). 
Je crois que c'était trop tard.
J'avais été blessée et ce "tu", devenu difficile pour moi, avait un goût amer.
Aujourd'hui, je l'ai relégué au fond d'un tableau gris et mon âme, qui le tient à distance, l'appelle "Monsieur" et le traite de "vous". "
Les mémoires de Carmen Pandera .

samedi 4 décembre 2010

Chauffe, chauffe Marcel, on en a bien besoin...il n'arrête pas de neiger

Quatre vingt quinze pour cent - Brassens

Pour gagner des sous, bon sang, comment fait-on ?

"C’est en forgeant qu’on devient forgeron
C’est en massant que l’on devient maçon
En polissant qu’on devient polisson

Mais pour gagner des sous

C’est en bûchant qu’on devient bûcheron
En relatant qu’on devient relation
C’est à cent ans qu’on devient moribond

Mais pour gagner des sous,

Les gens disent toujours
Que l’on n’a rien sans rien
Qu’il faut beaucoup semer
Pour un peu récolter
Moi j’ai rien dans les poches
Moi j’ai rien dans les mains
Mais comment voulez-vous
Que je gagne des sous ?

C’est en cornant qu’on devient cornichon
En se perchant qu’on devient percheron

Mais pour gagner des sous,

C’est en rêvant qu’on devient réveillon
En se mouchant qu’on devient moucheron

Mais pour gagner des sous,

Prodigues en paroles,
Tous les gens m’ont dit
Qu’il faut le pratiquer
Pour savoir son metier
Moi j’ai pas fait d’école
Et je n’ai rien appris
Mais comment voulez-vous
Que je gagne des sous ?

C’est en collant qu’on devient collation
En maquillant qu’on devient maquignon

Mais pour gagner des sous,

C’est en aidant qu’on devient édredon
En guérissant qu’on devient guéridon

Mais pour gagner des sous,
Mais pour gagner des sous
Bon sang, comment fait-on ?"

dimanche 28 novembre 2010

vendredi 19 novembre 2010

Guerir

Le meilleur texte que je connaisse sur le concept de guérison.

“Guérir pour s’éviter le pire”

“Guérir, existe en toi”

Renouvellement et aspect répétitif des schémas de pensées

En écoutant les gens (et en lisant les blogs) je constate qu'il y a chez l'être humain (et donc bien évidemment chez moi) un aspect répétitif des sujets et schémas de pensées négatifs (ou positifs) .
L'un parle sans cesse de la mort, de son envie de suicide,  l'autre de ses déceptions, du monde pourri,etc, le troisième de sexualité, d'amours contrariées, un autre encore de bourreaux, de victimes....(car il faut bien avouer que de nombreux blogs sont tenus par des gens peu ou prou mal dans leur peau, pas tous mais un nombre certain )
Or, je reste convaincue (pour l'expérimenter moi-même) que le monde (notre monde)qui nous entoure se forme et évolue constamment selon nos propres schémas de pensées .
Nous appelons ce que nous pensons.
Ainsi si je pense sans cesse que je suis une victime, je le serai...La vie m'amènera encore et encore soit à être victime soit à en côtoyer de très près.
Je suis toujours aussi convaincue que si nous parvenons à renouveler totalement nos pensées, le monde autour nous (celui qui nous entoure de très près) change et s'adapte à nos nouvelles pensées.
Si je commence à penser bonheur de vivre, celui-ci va se mettre en place..
Rien n'est moins réel et figé que le monde, ce sont  nos pensées qui le créent  et le font évoluer ou stagner autour de nous.
Il y a non seulement la pensée individuelle qui crée un monde individuel mais il y a également la pensée collective qui crée un monde collectif.
Je pense donc je crée..

Et ce texte est à moduler car il y a aussi en moi l'idée  que..
si je ne pense pas, je reçois tout  ce qui me convient parfaitement.
C'est un lâcher prise et une confiance absolue mais cela doit figurer dans un autre billet car l'absence de pensées est un degré spirituel supérieur...(là aussi je suis convaincue que nous sommes appelés sur une ou plusieurs vies à franchir des seuils)

PS: Je crains fort que ceux ou celles qui me lisent se disent: en lisant ce post:  "elle débloque, il lui manque un boulon..." :)) tant pis!

lundi 15 novembre 2010

L'éveil

L'éveil, c'est quand il n'y a plus personne qui habite le "je" et c'est une libération que de laisser tomber ce "je"

Demandez à mon chauffeur…

Un moment de bonheur ou la philosophie sans complication de Jean B. d’Orval

 

Extra le sourire de ce type! Sur son visage comme dans ses propos!

samedi 13 novembre 2010

Que d'eau, que d'eau!!!

La Belgique est un pays pluvieux certes,  mais là, ça dépasse les bornes !!!!
On est sur pied de guerre..
Les portes sont bouchées avec des sacs de sable et tout ce qui peut s'abimer est surélevé...
On attend
...avec palmes, masque et tuba!

vendredi 12 novembre 2010

CV

Je rencontre une spécialiste de la recherche d'emploi.
Elle examine mon CV et me dit : " Vous faites un CV vieux style comme il y a 30 ans..
Ce n'est plus cela qu'il faut aujourd'hui. "
IL faut du dynamisme,  des mots accrocheurs...Vous devez convaincre en moins de 15 secondes car c'est le temps que mettra l'employeur pour parcourir rapidement votre CV et décider de le mettre à la poubelle ou pas.
Il ne faut pas plus qu'une dizaine de lignes avec 3 mots par lignes et en plus, ça doit être vrai et complet et dire qui vous êtes mais surtout montrer ce que vous savez en langues et en informatique, ...
Il faut vous vendre et en un temps record !

Crazy world...

Je ne m'étonne plus que des tas de gens m'aient fichu à la poubelle en moins de 15 secondes....
Inadaptée, je suis...


J'aime bien le CV version Christian Bobin qui dit : "Si je devais rédiger un CV , il y aurait plein de trous dedans car pour une grande partie de ma vie, je ne sais pas moi-même où j'étais...

mardi 9 novembre 2010

Einstein, autisme et hp

J'ai appris ce matin que des médecins actuels pensaient qu'Albert Einstein souffrait sans doute du syndrome d'Asperger. Il était, paraît-il inapte à la communication normale. Il n'a parlé que vers l'âge de 4 ans et il fût longtemps le paria de ses camarades de classe.
Je me demande s'il peut y avoir un lien entre une certaine forme d'autisme et le hp.
L'enfant hp que nous avons reçu récemment à la ferme me semblait lui-aussi souffrir d'un autisme indétecté.
Chez Victoria (4 ans)  ,rencontrée il y a plus d'un an, si l'autisme était avéré, son haut potentiel ne semblait pas avoir été détecté alors qu'il me paraissait évident.

lundi 8 novembre 2010

Jeunesse et talent...

Parce que le talent n'attend pas le nombre des années,
Voici le site d'un jeune photographe nature exceptionnel!
http://amaurybertels.com

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samedi 6 novembre 2010

un film

J'ai été voir un film qui s'appelle: " mange, prie et aime".
J'ai aimé.
Ce film me fait penser à ma propre histoire.
Une année d'errance et de remise en cause après une rupture.
Une année pour me retrouver, moi.
Une année pour être moi.
Une année de souffrance, de rencontres positives et négatives..

Mais surtout

Une année pour aller jusqu'à toi.
Une année pour être moi avec toi.
Une année pour trouver ce nous respectueux de moi et de toi....

Les prochaines années seront peuplées de nous.
De "nous" heureux!

mardi 2 novembre 2010

L'hiver

Pour la première fois de ma vie , je ne redoute ni l'hiver ni la période des fêtes car je pense que cette saison sera douillette et tranquille. Nous nous blottirons dans la maison bien chaude , nous lirons, nous arrangerons la maison et nous ferons des projets pour le printemps et l'été prochain dans un bain de tendresse mutuelle.

lundi 1 novembre 2010

Across the universe

L’odalisque 2

Odalisque

"Je suis ta diva, ton odalisque
A tes forteresses,
Enamourée, je m'abandonne
Pour l'éternité
Je suis ta nana et ta Madone"
Claire Diterzi
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Au risque

Au risque de faire jaser
encore davantage
Je me permets de penser


Que ce monde est beau
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L'enfant désordonné

L'été est un enfant désordonné
Qui laisse traîner ses affaires
Que je ramasse


Bien après qu'il soit parti.
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L'or des feuilles



Quand j'ai besoin de me sentir riche
Je passe du temps

A compter et à recompter



Tout l'or des feuilles.
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dimanche 31 octobre 2010

Nilakantha

Lakmé ton doux regard se voile,
Ton sourire s'est attristé;
Comme on voit pâlir une étoile,
Une ombre assombrit ta beauté.
C'est que dieu de nous se retire,
C'est qu'il attend la mort du criminel.

Mais je veux retrouver ton sourire,
Oui, je veux retrouver ton sourire,
Et dans tes yeux je veux revoir le ciel !

Lakmé

Oscar

Mon amour m'a sculpté un potiron
Mon Dieu qu'il est mignon !
Mon amour, pas le potiron
Quoique...
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Montserrat

vendredi 29 octobre 2010

Le jardin était vert, vert, vert...

"La pluie coulait sur la fenêtre, le ciel n'était pas clair
Mais le jardin était vert, vert, vert
Et devant moi, celui que j'aime


Le vent de septentrion est là, je reste à la maison
Pour écouter crépiter le feu, le tam-tam du vent
Est déjà loin et tout est si calme

La pluie coulait sur la fenêtre, le ciel n'était pas clair
Mais le jardin était vert, vert, vert
Et devant moi, celui que j'aime"
Véronique Sanson
 
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mercredi 27 octobre 2010

Deux ou trois choses simples et normales sur l'amitié..

C'est une fille, c'est mon amie, je l'apprécie.
Pourquoi ?
Pour deux ou trois choses
Sur lesquelles jamais elle ne me déçoit ..
Sur quoi ?
Oh des "presque rien"
Qui semblent bête comme ça
Mais qui ont de l'importance pour moi...

D'abord
Quand je lui écris, elle me répond
Simple et normal me direz-vous..
Oh  pas si évident ..
J'en connais qui ne me répondent pas
ou alors seulement une fois sur trois..

Si je lui envoie des photos,
Elle les commente et me donne ses impressions
Simple et normal me direz vous..
Oh pas si évident..
J'en connais qui n'accusent même pas réception

Je lui dis quand ça va ou quand ça ne va pas
Simple et normal me direz-vous..
Oh pas si évident ..
J'ai l'impression qu'elle m'écoute et qu'elle m'entend
J'en connais dont le bruit de l'égocentrisme est assourdissant

Elle me parle de sa vie, de ses peines et de ses joies.
Même de loin, elle m'associe .
Elle m'envoie des photos, des dessins, des petits riens qui me mettent en joie
Simple et normal me direz-vous..
Oh pas si évident..
J'en connais dont le mot "ami(e)" ne rime pas avec partage et confiance en moi.

Le mot "ami(e) " ne rime pas avec n'importe quoi
Il rime avec confiance, constance, indulgence
Il crée des liens entre toi et moi
Depuis pas mal de temps déjà
Je le fais rimer avec Arthémisia depuis ce temps là ....http://jecrie-jecris.blogspot.com/2008/04/chanson-pour-arthmisia-et-moi.html

lundi 25 octobre 2010

Mortelles pensées

S’il y a des choses qu’il ignore, il n’a qu’à m’écouter plus fort jusqu’à ce que la mort de l’un ou bien de l’autre souffle la bulle de nos amours.

Et j'ai chanté seulement pour lui..


Et j'ai chanté seulement pour lui

A Dieu et renoncement

On est tellement bête à vouloir cacher tous nos sentiments.

 

La leçon de piano

Je me souviens que Raphaël, mon fils, jouait parfaitement cette musique au piano. J’ai dû renoncer à l’entendre jouer au piano.

J’ai renoncé à cela comme à beaucoup d’autres choses d’ailleurs.

dimanche 24 octobre 2010

Jérôme Murat

Malabar Princess

Je l’ai vu plein de fois et j’aime toujours autant ce film..

 

Monde pourri

Quand le monde ne se conforme pas à nos désirs, on n'est pas loin de penser que ce monde est pourri..
Petits dieux à la place de Dieu , nous avons une idée très précise de ce qui va ou ne va pas dans ce monde...

Petits dieux de poussière terriblement éphémères à la pensée pratiquement, géographiquement, historiquement terriblement limitée..

La vie Théodore

Il faut une bible  et un petit gobelet d'aluminium...

http://jecrie-jecris.blogspot.com/2008/04/thodore-prince-des-sables.html

Etre taoïste

Consiste bien souvent à voir, penser et dire (ou ne pas dire autre chose) que les autres..
Être taoïste, c'est vivre en marge et en plus, ne pas s'en inquiéter.

un avocat taoïste..

"La dernière fois que j'ai été déçu, c'était il y a 25 ans..." dixit Vic Van Aelst, l'avocat de Els Clottemans..


Les choses sont toujours ce qu'elles ont à être . Il n'y a pas de place pour la déception.

mercredi 20 octobre 2010

Les épisodes du chemin.

"Pour peu que le bonheur survienne, il est rare que l'on se souvienne des épisodes du chemin..."
Brassens

jeudi 14 octobre 2010

Une vie où il n’y avait pas de place pour se garer

De tout mon désespoir je chante, je suis heureux

Frère Antoine et la pâtisserie

Frère Antoine, la tentation

Frère Antoine, nourri, habillé et soigné par la Providence

Frère Antoine, suite

Frère Antoine, un dur à cuire

Frère Antoine, Dieu veut que nous soyons sans souci

Frère Antoine, suite 2