dimanche 20 septembre 2009

Parfois je m'étonne

Parfois je m'étonne

Devant la lâcheté
Devant le manque de la
Plus élémentaire
Humanité
Devant la bêtise
De l'être humain

Parfois je m'étonne

Devant l'énorme souplesse
De l'amour
De la compassion
De la faculté de résiliation
De l'être humain

Docteur Jeckill
and
Mister Hide

Mais comment
Verrions-nous
La lumière
Sans
La présence
De l'ombre...



1 commentaire:

Sylvaine Vaucher a dit…

Je dirai que l'on est tout à fait naturel qu'à son insu et cela ne m'étonne plus.