Je connais l'ombre bien sûr.
Comment ne pas la connaître?
On nous en rabat les oreilles de toute cette misère du monde .
Mais je suis comme le tournesol.
Je regarde surtout la lumière et je m'en réjouis.
Je ne change pas , je sais ce qui m'a sauvé (http://jecrie-jecris.blogspot.com/2010/01/en-depit-de.html), je sais ce qui me sauve encore et me sauvera toujours..
1 commentaire:
Indispensable d'être un tournesol si on veut garder l'équilibre! Est-il vraiment indispensable de nous détailler, jour après jour, toutes les misères du monde? De quoi ôter peu à peu tout jugement à ceux que les "nouvelles" intoxiquent.
Beau temps aujourd'hui, Catherine!
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